lundi 28 avril 2014

L'avion électrique E-Fan

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Premier vol de démonstration réussi pour l'avion électrique E-Fan.
C'est un habitué des meeting de Couhé (vol en patrouille d'un Nord 3202 et d'un Cricri), Didier ESTEYNE, qui a réalisé ce vol de démonstration vendredi 25 Avril 2014.
L'avion E-Fan est le fruit d'un travail de recherche et de conception entre Airbus et Aéro composites Saintonge (ACS).

Article du vol de démonstration:
http://www.sudouest.fr/2014/04/25/decollage-reussi-pour-l-avion-electrique-e-fan-sur-la-piste-de-merignac-1536075-705.php



Aéro Composites Saintonge (Entreprise de Charente Maritime): http://www.aero-composites.com/transformation-conception-materiel-composite-aeronautique-charente-maritime-17
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Jean-Mo, votre "blogmaster"

dimanche 27 avril 2014

Site internet de la plateforme aéronautique de Couhé


L'aérodrome de Couhé a désormais son site internet afin de regrouper l'ensemble des associations et entreprises aéronautiques présentent sur le terrain d'aviation.
Beau travail de Christophe Milian.

http://www.aero-couhe.com/

Bonne visite.

samedi 19 avril 2014

Des Ailes pour Elles !

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L'aviation au féminin en secteur rural
Aéroclub de COUHE – LFDV
 
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En faveur des jeunes filles :

Dans le sud Poitou, où en cette période printanière, les champs de colza et de lupin donnent à voir de magnifiques paysages, l’aéroclub de Couhé (LFDV), mise surtout sur les jeunes pour féminiser l’activité de pilotage.
Le projet « Publics particuliers » qui s’adresse aux collégiennes et collégiens, aux personnes handicapées, aux enfants malades et qui a obtenu le prix de la fondation SNCF, permet aux jeunes filles de pratiquer des vols d’initiation. Quelques unes suivent la formation du BIA, les autres ont tout simplement suivi une sensibilisation aux principes élémentaires du pilotage avant d’accéder aux commandes.
Autour du formateur BIA et des instructeurs,  ces vols d’initiation sont proposés depuis 5 ans aux élèves de 3ème des 4 collèges du Sud Vienne. Ce sont 45 à 50 élèves qui y ont accès chaque année à raison de 30 minutes en tant que passager et 30 minutes aux commandes.
Ces vols sont financés par le CNDS avec l’aide de la fondation SNCF.
La FFA, quant à elle,  participe au financement des vols des 4 ou 5 titulaires du BIA.
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Voici quelques témoignages recueillis juste après le vol :
PAULINE :
C’est super. Pendant le décollage, je me suis dit « ça y est j’y suis ! ».  On a l’impression quand on vire que si on fait une chose de travers, et bien on tombe, mais finalement l’avion est maniable et on garde facilement le contrôle. Les courants ascendants surprennent. On n’arrive pas bien à se repérer parce qu’il faut regarder un peu partout à la fois. J’ai reconnu Couhé, le collège, la prison de Vivonne ....

Pour le décrochage, on ne s’y attend pas. En fait on monte, puis d’un seul coup l’avion se met à piquer, on remet des gaz et on pousse légèrement sur le manche, l’avion se redresse.
C’est assez facile l’atterrissage, on se met bien droit face à la piste et on ralentit l’avion puis on descend petit à petit. Pour le contact au sol, ça doit se faire délicatement.

CLEMENCE :
C’était une belle expérience même si j’ai eu peur. La sensation du décollage, c’était fort, c’est comme si on devenait un oiseau. Même quand on vire on ne le sent pas vraiment car on est tellement pris par le pilotage, du coup on n’a pas la sensation de trop pencher. On est un peu dans une « bulle de paradis ».

On n’a pas le vertige, on ne s’en préoccupe pas. On voit bien les paysages et on est comme un oiseau. Par la suite, ça m’intéressera peut-être d’apprendre à piloter.

BERENGERE :
Je suis d’abord montée à l’arrière. J’ai pris des vidéos, j’ai survolé la maison de celui qui pilotait (à Saint Mâcoux). Les sensations n’étaient pas les mêmes qu’à l’avant. On a fait du décrochage, c’était super bien.

Au pilotage, c’est juste magnifique parce qu’on voit mieux qu’à l’arrière, on se repère par rapport à l’horizon, on a volé au dessus des nuages, on aurait dit que c’était du coton. Le moins facile, ça a été de gérer les commandes tout en visualisant la trajectoire. Le plus facile, c’était la manette des gaz, ainsi que les palonniers.
J’aimerais bien être coiffeuse, j’espère quand même piloter à nouveau.

 
 
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Formation « Pinch Hitter » pour conjointes :
Depuis quelques mois, 4 épouses de pilotes de l’aéroclub s’entraînent pour acquérir les compétences élémentaires au pilotage afin de pouvoir assister leur conjoint en cas d’urgence.
Au bout de 5 séances de théorie, et de 5 heures de vol, elles sont capables d’utiliser la radio, de demander l’assistance d’un radar et d’atterrir convenablement.
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Article de Catherine HUGAULT

mardi 1 avril 2014

Assemblée générale de la plateforme aéronautique

Assemblée générale de la plateforme aéronautique samedi 5 avril 2014 à 10h - Salle St Exupéry.